Titre
Le Vol de la Joconde
Auteurs
Yves le Naour & Didier Bontemps
Philippe Meyer
La Joconde tourne les têtes, et ceci n’est pas d’hier. Les auteurs de cette bande dessinée sont venus grossir les rangs des victimes de Mona Lisa. La maladie que l’on attrape le plus facilement en contemplant ce tableau et en s’attachant à son histoire est en effet la maladie dite de l’hypothèse. Hypothèse sur l’identité du modèle, sur son sexe, sur la nature de ses liens avec le peintre, sur les raisons de son sourire, j’en passe et des plus farfelues. Les plus farfelues en question sont le plus souvent fondées sur une solide documentation et des raisonnements qui ont toute l’apparence de la logique. «Le Vol de la Joconde» ne déroge pas à cette règle. Quand vous aurez refermé ce livre, vous aurez envie d’aller au Louvre. Juste histoire de vérifier un détail. Vous aurez la maladie de l’hypothèse.
Isbn
9782363630148
Genre
récit histori-cocorico-hystérique
4ème de couverture
Le 21 août 1911, vers sept heures du matin, un individu vêtu d’une blouse blanche dérobe le tableau le plus célèbre du monde au beau milieu du musée du Louvre. La Joconde a disparu ! Pour retrouver le chef d’œuvre que son auteur Léonard de Vinci, avait cédé par testament à la France depuis 1519, le célèbre préfet Lépine apporte son concours à l’enquête en la confiant au plus fin limier du pays, le commissaire Vaud.
Sur fond de préparation de la Grande Guerre, commence alors l’histoire la plus drôle, la plus loufoque, la plus rocambolesque – et malheureusement véridique – des annales de la Police française. Parce qu’il n’a aucune piste, le commissaire Vaud soupçonne le monde entier ; tour à tour l’Allemagne, les Belges, l’Argentine, L’Italie, les milliardaires américains, les juifs, les journalistes et surtout ces deux métèques de la bohème que sont Pablo Picasso et Guillaume Apollinaire. Toutes ces pistes ne tiendront ni à fer ni à clou ! Ne reste du clou de la collection du Louvre que quatre clous de fixation.
Mona Lisa échappe à tous. Un récit histori-cocorico-hystérique …
nbr pages
48
Colorisation
noir et blanc